Grâce à une solution d’affichage multi-écrans sur-mesure signée TEDELEC. Objectif : un dispositif immersif et flexible, capable d’accompagner les simulations de crise et les formations pointues. Retour d’expérience avec Alain Mousseau, responsable du projet, qui partage les enjeux, les bénéfices concrets et sa satisfaction.

Quel était votre objectif principal en lançant ce projet d’affichage multi-écrans ?
Alain MOUSSEAU – Remplacer un matériel devenu obsolète. Nous utilisions un vidéoprojecteur dont la luminosité était quasiment inexistante, ce qui rendait son usage très limité, voire impossible. Il s’agissait donc en priorité d’un besoin de renouvellement technique. Dans un second temps, nous avons vu dans cette installation l’opportunité d’aller plus loin grâce aux possibilités offertes par la technologie. Ce nouveau dispositif nous permet désormais de répondre aux exigences spécifiques de la formation en cybersécurité, notamment à travers la mise en place d’exercices de simulation de crise. Concrètement, grâce aux 13 moniteurs, nous pouvons transformer cette salle en véritable salle de crise dédiée à la cybersécurité, en salle d’observation ou encore en espace d’entraînement pour des scénarios immersifs.
Quels bénéfices concrets avez-vous constatés depuis la mise en service de l’installation ?
Alain MOUSSEAU – Ils sont multiples. Le premier a été immédiat : le renouvellement du matériel a permis de retrouver une salle pleinement fonctionnelle. Rien que cet aspect a représenté un vrai gain en confort et efficacité au quotidien. Ensuite, un autre avantage majeur réside dans la richesse de communication que nous offre cette nouvelle installation. Le fait de disposer de plusieurs écrans de retour simultanément nous permet de diffuser plus d’informations, à différents endroits de la salle, et de manière beaucoup plus fuide et interactive.
Y’a t’il eu un moment marquant ou un effet “wahou” lors de la mise en service ou des premiers usages ?
Alain MOUSSEAU – Oui, absolument. L’effet “wahou” s’est fait ressentir dès les premières utilisations. Le simple fait de voir les 13 écrans fonctionner simultanément offre un rendu visuel impressionnant, surtout lorsqu’on le compare à l’ancienne installation. Le contraste entre l’avant et l’après est saisissant : on passe d’un simple vidéoprojecteur fatigué à une solution immersive, moderne et impactante. C’est une transformation qui a marqué aussi bien les utilisateurs que les visiteurs.
» Une prise en main rapide, même pour les personnes moins familières avec ce type d’outil ».

Utilisez-vous toutes les fonctionnalités prévues, comme l’affichage de sources dfférentes par écran ?
Alain MOUSSEAU – Oui. Nous exploitons notamment la possibilité d’afficher différentes sources sur chaque écran, ce qui nous offre une grande flexibilité dans l’organisation de nos contenus et dans la gestion des exercices ou des présentations.
Avez-vous trouvé l’interface de contrôle (iPad) facile à prendre en main ?
Alain MOUSSEAU – Elle est très simple à utiliser. Elle est à la fois fluide, intuitive et accessible à tous, ce qui permet une prise en main rapide, même pour les personnes moins familières avec ce type d’outil.
Souhaitez-vous, à terme, développer ou compléter cette installation ?
Alain MOUSSEAU – Absolument ; nous avons déjà en tête plusieurs évolutions. Dans un premier temps, nous souhaitons moderniser le système audio. L’idée serait de mettre en place une zone de captation sonore divisée en quatre secteurs distincts, mais regroupés sur une seule piste. Cela nous permettrait de choisir précisément quelle zone sonore diffuser dans l’amphithéâtre et ainsi, à terme, de supprimer tous les micros individuels. Dans un second temps, nous envisageons également l’installation d’un système complet de captation vidéo. L’objectif serait de pouvoir filmer une zone précise, d’y associer le son correspondant, puis de diffuser cette captation directement sur les écrans, de manière ciblée, pour l’ensemble de l’amphithéâtre.

» Le résultat final est conforme à nos attentes, tant sur le plan technique que fonctionnel ».
Que pensez-vous du rapport qualité/prix de l’installation ?
Alain MOUSSEAU – Je n’ai pas vraiment de point de comparaison, car je n’ai pas étudié d’autres alternatives. J’ai principalement travaillé à partir du chiffrage qui m’avait été proposé, en fonction du besoin exprimé. Il m’est donc difficile d’émettre un jugement objectif sur le rapport qualité/prix. En revanche, le résultat final est conforme à nos attentes, tant sur le plan technique que fonctionnel.
Recommanderiez vous TEDELEC et les produits Wyrestorm à d’autres établissements ? Pourquoi ?
Alain MOUSSEAU – Oui, je recommanderais tout à fait TEDELEC. Leur proximité, la qualité du service, le professionnalisme de la prestation ainsi que le suivi après-vente ont été très appréciables tout au long du projet. Quant à Wyrestorm, je recommande également leurs produits, car la solution a été spécialement développée pour notre installation. Elle a parfaitement répondu à nos besoins spécifiques, ce qui montre la flexibilité et l’innovation du produit.
Sur une échelle de 1 à 10, comment évaluez-vous la qualité des relations professionnelles avec l’équipe de TEDELEC ?
Alain MOUSSEAU – Je donnerais un 10. Je travaille avec TEDELEC depuis longtemps, et ce score reflète la réalité de nos relations professionnelles : une réactivité constante, la qualité des échanges, et une grande fiabilité de leur part.

ENSAR – Ecole Nationale Supérieure des sciences Applicatives et du Risque
L’Ecole d’ingénieurs a pour vocation de former des ingénieurs et cadres adaptés à la complexité de leur environnement et aux valeurs éthiques et environnementales affirmées, en plaçant l’humain au centre des process, dans les domaines de la donnée et de la gestion des risques.
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